Il y a 3 ans -
Temps de lecture 1 minute
KED – ou la connaissance partagée
Chez Publicis Sapient Engineering, apprendre fait partie de notre métier.
Nous nous engageons chaque jour à nous instruire et à partager notre savoir-faire.
Développeur(se)s, Data Engineers, Agilistes, Consultant(e)s DevOps, Fonctions Support… nous formons une communauté de curieux. Ce “vilain défaut” est pour nous une qualité hautement valorisée, qui s’entretient.
Depuis plus de 15 ans, avec la création de Xebia, aujourd’hui Publicis Sapient Engineering, nous consacrons tous les mois, une journée interne au partage de la connaissance : le KED, trois lettres au reflet de cet événement si important pour nous.
K pour Knowledge : la connaissance, le coeur de la journée. Qu’ils soient techniques, méthodologiques ou de terrain, tous les savoirs et retours d’expérience ont leur place.
E pour Exchange : le partage, le pilier de cet événement interne. Sans partage, il n’y aurait pas d’apprentissage, les idées ne germeraient pas, la communauté n’existerait pas.
D pour Day : une journée, rythmée par les conférences, les hands-on, les ateliers… le déjeuner pris ensemble et l’after KED qui clôture l’événement en toute convivialité ;)
Le programme change tous les mois, au gré des talks soumis par les speakers volontaires.
Car oui, cette journée est uniquement portée par les Sapients, avides de partager leurs connaissances. Pour certain(e)s, c’est même un tremplin vers la prise de parole en public, encadrée par la bienveillance de notre communauté de curieux. Les clients y sont parfois invités à partager le temps de parole, pour ensemble, faire la démo d’un projet réalisé main dans la main avec fierté.
![]() |
![]() |
Si vous souhaitez palper l’ambiance de cette “foire aux passions”, rendez-vous sur Twitter en suivant le hashtag #KEDay, on y partage entre autre le programme.
Pour avoir un aperçu des contenus, on vous laisse vous diriger vers notre chaîne Youtube. Vous y trouverez bon nombre de vidéos représentatives des sujets que nous abordons.
A bientôt !
Commentaire