Published by Jérémy Pinsolle
Il y a 4 ans -
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Embrasser les architectures Serverless
Les architectures Serverless promettent, entre autres, une adaptation des coûts à l’usage réel de son système, une grande facilité pour transformer une idée en produit livré, une mise à l’échelle et une haute disponibilité à toute épreuve et surtout transparente.
Avec ces promesses viennent néanmoins plusieurs problématiques qu’il convient d’adresser, dont en voici les deux principales :
- Extraire les bonnes pratiques : avec de nouveaux paradigmes, émergent de nouvelles bonnes pratiques #ServerlessDoneRight, qu’il convient donc de dégager. Avec les technologies Serverless, la facilité de réalisation de prototypes n’est plus à démontrer, mais l’enjeux majeur reste néanmoins de bâtir une architecture taillée pour la production. Il s’agit donc ici de transposer dans ce nouveau monde les bonnes pratiques acquises sur des architectures on-premise et micro-services (traçabilité, déploiement automatisé et reproductible, sécurité, tests, mocks, etc).
- S’extraire du vendor lock-in : la délégation du backend, le couplage au système d’événements et l’utilisation de services spécifiques à un fournisseur donné peuvent être vécu comme un emprisonnement (lock-in) avec à l’horizon une réversibilité douloureuse. Ici aussi, des pratiques et des solutions doivent être envisagées pour minimiser cette dépendance et bénéficier des avantages de ce nouveau paradigme.
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